Le 5 février, un responsable du ministère de l’Information et des Communications a annoncé que des pirates informatiques basés en Chine avaient tenté en vain de pénétrer les sites Web et les systèmes de messagerie électronique du président philippin, ainsi que des agences gouvernementales liées à la sécurité maritime.
Les tentatives de piratage en janvier ont visé les boîtes mail du Département des technologies de l’information et de la communication (DICT), le site Internet de National Coast Watch, ainsi que le site personnel du président philippin Ferdinand Marcos Jr, a indiqué le porte-parole du DICT, Renato Paraiso, sur la radio DWPM. M. Paraiso a précisé : « Nous n’attribuons cela à aucun État, mais en utilisant les adresses du protocole Internet, nous l’avons identifié en Chine », ajoutant que les pirates utilisaient les services de la société d’État chinoise Unicom.
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